La tyrannie étatique donne des signes d’effritement.

Le CHU de Saint-Étienne réintègre des agents hospitaliers non vaccinés contre le Covid-19

Lu sur France Bleu Saint-Etienne

C’est une victoire pour les trois agents suspendus des hôpitaux de Roanne et de Saint-Étienne. Non vaccinés contre le Covid-19, ils avaient contesté en référé leur suspension devant le tribunal administratif de Lyon. Et dans sa décision rendue vendredi 22 octobre, le tribunal leur a donné raison, en invalidant leur suspension, notamment parce que ces agents travaillent dans les cuisines des deux hôpitaux. 

La tyrannie se définit par la main-mise par un homme ou un groupe d’hommes de tous les pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire, médiatique. Dans cette tyrannie pfizerienne actuelle, qui tient en main et sous l’emprise de la terreur, un système politique et médiatique corrompu, on attendait vainement l’émergence d’une résistance du législatif, du judiciaire, du médiatique. Aujourd’hui, cette tyrannie donne des signes de vacillement. Le Sénat réduit la teneur de la décision de prolongement du pass, et la Justice donne raison à des salariés licenciés pour raison de non injection. Aujourd’hui les médias informent d’autres informations que celles conforment à cette tyrannie étatique.

Le CHU “prend acte” de la décision du tribunal administratif

Si dans un premier temps le CHU de Saint-Étienne avait déclaré appliquer la loi sur l’obligation vaccinale des soignants en refusant de réintégrer les agents, l’établissement a finalement fait marche arrière. Dans un communiqué publié ce jeudi, le CHU et le CH de Roanne déclarent prendre “acte des ordonnances prises par le juge des référés du TA de Lyon. Ces ordonnances suspendent la décision de suspension prise pour trois agents hospitaliers ne satisfaisant pas à l’obligation vaccinale posée par la loi du 5 août 2021.” Les deux établissements précisent qu’ils se sont pourvus en cassation.

Les trois soignants vont donc pouvoir retourner au travail, même si les conditions sont encore à préciser. C’est une victoire selon leur avocat Thomas Bénagès, et cela crée surtout un précédent, “pour ceux qui ne travaillent pas au contact des malades ou du public et qui auraient la possibilité d’être reclassés.” C’est ce que souhaite au moins une trentaine d’agents et pompiers non vaccinés défendus par Thomas Bénagès. Ils sont actuellement en attente d’une autre décision du tribunal administratif, cette fois sur le fond.

La justice annule la suspension de neuf agents des Hôpitaux de Drôme Nord

Neuf agents hospitaliers de Saint-Vallier et de Romans-sur-Isère ont obtenu gain de cause. Le tribunal administratif de Grenoble remet en cause leur suspension pour non-vaccination alors qu’ils étaient en arrêt maladie.

France Bleu Drôme

Demande de dissolution de l’Ordre des Médecins

Dans le même temps, une tribune de médecins demande la dissolution de l’Ordre des Médecins :

Cette institution protège des professionnels de santé corrompus et maltraitants, tout en maltraitant des usagers du système de soin et des professionnels qui tentent de respecter leur éthique professionnelle“, argumentent-ils dans la tribune.

Tant que ce système de mensonge et de corruption, qui instaure une élite toxique à la vie humaine, règnera en tyran, nous continuons notre combat pour la Liberté, la Fraternité, la Santé, et la réelle démocratie.

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